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Je n'arrive pas à lui pardonner

Le pardon est quelque chose de complexe. Pour pardonner, il faut accepter que soi-même on n’a pas compris quelque chose. Je vais vous dévoiler ce que personne ne vous explique, parce que ce n'est pas facile à entendre...Et pourtant tous les coachs savent que c'est la vérité.

C'est la clef absolue du pardon : 

"On s’en fiche un peu du pourquoi du comment du comportement de l’autre, c’est son problème. 

Le vôtre c’est de comprendre ce qu’il se passe réellement chez vous." 

 

Pourquoi cette colère ?

Pourquoi ces émotions qui tournent en boucle ? 

Pourquoi ce besoin de résoudre une énigme chez l’autre au lieu de se comprendre soi-même ? 

Parce que :

C’est plus facile d’en vouloir à l’autre. 

C’est plus facile de penser que tout ce que l’on fait est mieux. 

C’est plus facile de vouloir que l’autre s’agenouille en signe de respect. 

 

Alors le pardon, c’est déjà de se pardonner soi-même :

D’être impuissant

D’être tourmenté.e

D’être énervé.e, vexé.e, meurtri.e, dans le flou

D’être au sol

D’avoir autorisé cette situation à exister. 

Ce que l’on peut faire après.

C’est prendre conscience de l’état dans lequel on est derrière l’émotion. 

 

Vous sentez-vous :

Rejeté.e - Exclu.e - Ignoré.e ?

Soumis.e- Trahi.e- Apeuré.e ?

Insécure - Écrasé.e - Négligé.e ?

Dégoutant.e - Répugnant.e ?

Détestable - Inacceptable ?

... ?

 

L’autre ne fait que vous renvoyer ce qu’intérieurement vous avez déjà autorisé à être votre réalité. Croyances limitantes, histoire de l’enfance, ressenti social. Nous nous construisons au filtre de ce que nous avons l’impression de vivre. Pourtant la réalité est bien souvent 

radicalement différente de votre réalité intérieure. Notre ressenti se construit très tôt dans l’enfance, et s’intègre comme une réalité intérieure définitive dès l’âge de 7 ans. 

Les évènements extérieurs ne font que renforcer nos croyances ensuite. Il faut donc apprendre à réapprendre pour mieux se reconstruire. Pour pardonner, il faut commencer par se pardonner à soi même, ses croyances, ses ressentis et apprendre à écouter l’autre, écouter ce que nos interactions réveillent à l’intérieur de nous. 

 

Quand on sait que tout vient de soi, l’autre n’est plus un ennemi, mais un révélateur. 

Au lieu de lui en vouloir, on apprend à gérer chaque « crise », comme un nouveau moment de vérité. 

 

Est-il nécessaire de laisser ce ressenti vous gâcher la vie ? 

Voulez-vous apprendre à l’évacuer ? 

Voulez-vous vivre en paix avec vous-même ?

Voulez-vous vivre en paix avec vos émotions ?

Voulez-vous vivre en paix avec l’autre ? 

Tout vient toujours de ce que l’on s’autorise ou pas à faire, à dire, à exprimer. 

On a le droit de dire exactement ce que l’on ressent. 

Le problème c’est le « exactement ».

 

Pour savoir exactement il faut avoir fait un travail sur soi, de conscience de soi et d’estime de soi. Sinon on est toujours « aveuglé » par le filtre de nos croyances limitantes. 

Tant que l’on est dans la peur, le manque d’estime de soi, et tous les états dont je vous parle ici, on est dans l’incapacité de formuler clairement son besoin. 

Combien de fois je me suis sentie écrasée, incapable de me défendre ou avec l’impression de ne pas être entendue, respectée ? 

Professionnellement, personnellement, intimement et en famille. 

Trop. 

Combien de temps m’a-t-il fallu pour comprendre ? 

Plus de 30 ans .

Combien tout cela m’a couté en coaching, en psy, et en produits de tous horizons ? 

Tout mis bout à bout on est à plus de 10 000 euros sur les 7 dernières années.

Elles ont été bouleversantes de remise en question, d’impression d’être folle, de sensation d’impuissance, de mental en bras de fer, de torture psychologique sur ma valeur, ce que je méritais, ou que personne ne me comprenait. Beaucoup de cheveux blancs ont poussé. Beaucoup de larmes et de cris sont sortis. 

 

Le bilan de tout cela c’est qu’aujourd’hui je sais ce que chaque interaction m’apporte. Je sais demander pardon, et (vraiment) pardonner. 

Je connais le chemin, je sais par où passer, je sais combien de temps ça prend. 

Ma méthode d’accompagnement est aussi le fruit de toute cette connaissance, cette expérience. Si je vous propose de vous transformer en 3 mois c’est parce que je peux vous faire prendre les raccourcis, je vous accueille avec des fiches, des exercices pratiques et un programme qui a un but, des étapes que je vous aide à passer, et des apprentissages que vous ne mettrez pas 7 ans à intégrer. 

Vous pouvez aussi vous pardonner d’avoir eu l’impression de stagner, ou de ne pas comprendre et vous pouvez vous autoriser à changer de méthode. 

 

Alors que décidez-vous ?